Source : www.lejdd.fr
Les pannes sexuelles sont un quasi-tabou. Pour aider les éclopés de l’amour à en parler, des sexologues parcourent la France à leur rencontre.
Il y a ceux qui tournent autour du “camion du désir” avant de se décider à monter à bord ; ceux qui s’approchent tout près, très lentement, et rebroussent chemin au dernier moment; ceux qui acceptent un dépliant mais pas la discussion; et ceux, enfin, qui lancent en rigolant: “Moi, j’ai jamais eu aucun problème. L’amour, ça s’apprend pas.“
Eh bien si, ça s’apprend. Et non, les pannes sèches n’arrivent pas qu’aux autres. Et s’il fait un froid polaire sous la couette, le mieux c’est encore d’en parler. Tous deux sexologues et membres de l’Adirs (Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité), Didier Blond et Christine Rousse ont entamé cette semaine (1) un tour de France pour aller à la rencontre des éclopés de l’amour. A Lille, Nancy ou Paris, une cinquantaine d’hommes et de femmes ont vaillamment grimpé à bord du poids lourd gris et confié aux spécialistes quelques-unes de leurs peines de corps. Certains sont repartis rassurés : on peut tous avoir des baisses de désir passagères ; on n’est pas obligés de rivaliser avec les stars du porno. D’autres ont trouvé pour la première fois des pistes pour doper érections et orgasmes récalcitrants.
Apprendre à “lâcher prise”, à “prendre du plaisir”
Tabous suprêmes quand chacun est sommé d’être performant, au lit comme au bureau, les problèmes sexuels sont assez fréquents, et pas seulement quand l’âge avance. Selon l’Enquête sur la sexualité en France (2), vaste exploration sociologique de nos alcôves, 11,7% des femmes et 9% des hommes y sont confrontés chaque année et la moitié de la population en connaît “de temps en temps”. D’autres études montrent que 80% des personnes atteintes de troubles d’ordre sexuel ne bénéficient d’aucune aide.
Pourtant psychologue de métier, Joss (3), 30 ans, erre depuis cinq ans de cabinets médicaux en divans de psy à la recherche d’un remède à ses soucis d’érection. “C’est frustrant, dégradant, se désole-t-il. J’ai peur de perdre ma copine. Les généralistes à qui j’en ai parlé ont tous eu l’air de me dire que c’était du stress et que ce n’était pas grave.” A bord du camion gris, au lieu du viril et peu pertinent: “Sois un homme, mon fils”, Joss a entendu mercredi des paroles réconfortantes. Il sait désormais comment trouver un sexologue et compte bien apprendre à “lâcher prise”, à “prendre du plaisir”.
Auteure du chapitre consacré aux difficultés sexuelles dans l’enquête sociologique sur la sexualité des Français, la psychosociologue Sharman Levinson ne nie pas l’intérêt d’une prise en charge médicale mais s’inquiète d’une médicalisation à outrance, alimentée par le lobbying des firmes pharmaceutiques: “D’abord, tous les gens qui ont des problèmes n’en souffrent pas. Certains s’en accommodent très bien. Au lieu de prescrire du Viagra aux autres, on devrait leur conseiller de parler avec leur partenaire. La communication fait parfois plus de miracles que les médicaments.”
(1) Sponsorisée par la firme pharmaceutique Lilly, l’Adirs poursuit son tour de France cette semaine à Marseille, Toulouse et Nantes. Renseignements sur www.adirs(2) Enquête sur la sexualité en France, La Découverte.
(3) Le prénom a été modifié.
Pour rompre le tabou des troubles sexuels !
Source : sante-az.aufeminin.com
Les troubles de la sexualité – baisse du désir, du plaisir, pannes d’érection… – apparaissent encore dans notre société comme un sujet tabou. C’est pourquoi un camion « Vivre son couple, la sexualité en parler tout simplement » sillonne les routes de France et traverse différentes villes, jusqu’à fin octobre.
A son bord, des professionnels de la santé de l’ADIRS (Association pour le Développement de l’Information et de la Recherche sur la Sexualité) viendront à la rencontre du grand public, pour inciter au dialogue et à la prise en charge de ces troubles. Chacun pourra ainsi bénéficier de conseils personnalisés et gratuits, et aura à sa disposition une large documentation sur le sujet.
Selon l’étude IFOP/ Lilly menée en aout 2009, et intitulée « Les Français, les 5 sens et la sexualité », 54% des Français considèrent leur partenaire comme l’interlocuteur privilégié en cas de difficultés sexuelles. Le médecin apparaît comme la seconde personne vers laquelle se tourner en cas de problèmes, même si les hommes (45%) apparaissent plus disposés que les femmes (36%) à consulter un professionnel de la santé.
Pour le Pr Pierre Costa, urologue au CHU de Nîmes et président de l’AIHUS (Association Inter-Hospitalo Universitaire pour la Sexologie), il est essentiel de permettre aux patients de s’exprimer sur ce sujet et de faciliter leur rencontre avec des professionnels. C’est le but de cette tournée à travers les villes françaises.
Le camion est à Nancy le 22 octobre, à Lyon les 23 et 24, à Marseille les 27 et 28, à Toulouse les 29 et 30, et enfin à Nantes le 31 octobre.
Source : Etude IFOP/Lilly « Les Français, les 5 sens et la Sexualité » menée en Aout 2009 sur 1001 personnes représentatives de la population de plus de 18 ans.
Didier BLOND : “Consulter un sexologue, ce n’est pas avoir affaire à un pervers !”
Source : www.elle.fr
Didier Blond est psychothérapeute-sexologue, membre de l’ADIRS*. Mardi et mercredi, il était au rendez-vous dans le semi remorque dédié à l’opération « Vivre son couple, la sexualité, en parler, tout simplement », à Paris. Il a écouté puis conseillé de nombreuses femmes et hommes venus lui confier leurs difficultés sexuelles. Interview.
Propos recueillis par Emilie Poyard
Existe-t-il un profil des personnes qui sont venus vous rencontrer ?
Il y a un profil suivant l’âge : j’ai reçu beaucoup de garçons jeunes qui ont des problèmes d’érection ou d’éjaculation précoce. J’ai vu aussi des jeunes filles qui ont la pression de leurs copines ou de leurs petits copains pour leur premier rapport sexuel. Après, on passe à la tranche d’âge des 40 ans : environ 80% sont des hommes qui viennent consulter pour des problèmes d’érection liés au stress ou à des problèmes dans leur vie de couple. Il y a quelques couples aussi, mais ils sont moins nombreux. Il y a des gens qui passent et qui s’arrêtent devant le camion et d’autres qui viennent avec des questions précises. Les femmes vont essentiellement parler de baisses de désir. D’autres sont célibataires et ne voient personne depuis 4-5 ans, elles dépriment et développent des problèmes relationnels. En cabinet, on retrouve les mêmes problématiques : les problèmes d’érection, d’éjaculation précoce et les dépressions dues à une image négative du corps.
Que dire aux femmes qui n’osent pas aller voir un sexologue ?
Quand on connaît des difficultés sexuelles, on se renferme, on a une mauvaise image de soi et de son corps. C’est important d’en parler car il y a des solutions. En allant voir un sexologue, elles obtiendront une réponse spécialisée. La campagne « Vivre son couple, la sexualité, en parler tout simplement » sert aussi à informer sur la profession de sexologue. Pousser la porte vers un thérapeute est compliqué. A qui s’adresser ? Il y a parfois une certaine confusion autour de la profession. Aller voir un sexologue, ce n’est pas avoir affaire à un pervers !
Que faire lorsqu’on rencontre des difficultés sexuelles ?
Quand l’un des deux partenaires a un problème, il ne fait souvent pas la démarche de s’en ouvrir à l’autre. Mais il faut en parler, même dans son couple ! S’il y a un problème clinique, cette femme ou cet homme peut se rendre tout d’abord chez son médecin traitant qui le dirigera ensuite vers un spécialiste si nécessaire.
La sexualité : en parler tout simplement
source : www.elle.fr
Impossible de rater ce semi remorque, installé à deux pas de la Villette, à Paris. Sur un panneau géant, un portrait de couple. Et partout, taggé comme un leitmotiv, ce slogan : « Vivre son couple, la sexualité, en parler tout simplement ». L’idée ? Un camion qui fait étape dans sept villes de France avec à son bord des psychothérapeutes, sexologues et gynécologues pour inciter les Français à parler sexualité. Une opération à l’initiative de l’ADIRS, en partenariat avec l’AIHUS et le laboratoire Lilly. A l’intérieur, canapés blancs et coussins rouges pour patienter. Dans deux bureaux un peu isolés, les professionnels reçoivent les confidences de ceux qui osent déballer leur vie intime. Et ils sont nombreux à venir épancher leurs difficultés sous la couette. En majorité des hommes de plus de 40 ans, quelques couples et pas mal d’ados. Certains passants hésitent, regardent de loin ce drôle de camion, passent leur chemin et reviennent… ou pas !
Sabine et Fred ont la trentaine, ils ont entendu parler de l’opération dans les médias et ont décidé de se lancer. Leur problème ? « Je connais une baisse de désir et je n’arrive pas à trouver de solutions. Pourtant, dans notre couple, tout se passe bien. », explique Sabine. Le sexologue lui demande si elle pense que la baisse de désir est lié à un événement particulier, « c’est souvent le cas ». Sabine reprend la parole et explique que : « c’était latent depuis longtemps mais que c’est devenu plus fort quand nous avons emménagé ensemble. J’ai l’impression que Fred était tout le temps dans le désir, pas moi. Parfois, j’ai envie de relations sexuelles mais mon corps ne réagit pas. Comment faire ? » Le psy explique alors que « la baisse du désir peut parfois être liée à un besoin de se protéger. Les personnes qui ont des pertes de libido sont très intellectuelles, la mentalisation est très importante pour elles. » D’où la difficulté à lâcher prise !
Des pistes à exploiter ? Pourquoi ne pas « apprendre à masser son partenaire, tester la sophrologie ou la relaxation, pour vous aider à être plus dans l’envie ». Le thérapeute conseille également au couple de « multiplier les activités à deux, que la sexualité ne soit pas le seul moment où ils se rencontrent ». Et il insiste sur un point : cette baisse du désir n’est pas liée à l’amour que Sabine et Fred se portent l’un l’autre. Sabine a pris des notes, elle a vraiment envie de « retrouver la petite étincelle ». Fred est rassuré : « on a connu un moment où ça se passait bien côté sexuel, cela veut dire qu’on peut retrouver ce désir : c’est motivant ! ». Vingt minutes plus tard, ils repartent. Main dans la main.
Emilie Poyard
Sur les routes du plaisir
Source : www.metrofrance.com
Des sexologues s’installent aujourd’hui place Antonin Poncet Le public pourra venir aborder les difficultés en toute intimité
Trouble du désir, trouble érectile, difficulté à dialoguer dans le couple : aujourd’hui et demain l’opération “Mieux vivre son couple” fait escale à Lyon. On pourra parler sexualité librement dans un… camion installé place Antonin-Poncet. Qu’on ne se méprenne pas, l’idée ne vient pas de routiers coquins ou de péripatéticiennes qui auraient troqué leurs camionnettes.
La démarche, très sérieuse, émane de l’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs). Pour la première fois en France, elle a eu l’idée de mettre à la disposition du public des sexologues et des psychologues pour aborder les difficultés du couple.
“Il reste encore des sujets tabous, explique le président de l’Adirs, le docteur Antoine Lemerre, endocrinologue et sexologue. L’idée, c’est de dédramatiser. D’aller au-devant des gens pour les inciter, plus tard éventuellement, à consulter un spécialiste.” Il précise : “Si on attend trop, des non-dits apparaissent et cela peut aboutir à de vrais conflits à l’intérieur du couple.”
Les problèmes intimes sur la place publique, cette démarche audacieuse n’a pas semblé choquer dans les villes où la tournée est déjà passée, comme Lille ou Paris.
“Il y a une plus grande ouverture des gens”, constate Antoine Lemerre. Les plus timides peuvent déposer des messages anonymes, les réponses seront apportées sur le site Web www.adirs.com .
Troubles sexuels : psychologie ou médecine ?
Source : sante.doctissimo.fr
Par Lucile – 23 octobre 2009 – Tags : conseil forme
Suite à la publication du sondage Ifop/Lilly sur la sexualité des français, voici ce que le Dr Antoine Lemaire, endocrinologue-diabétologue-sexologue à Lille et Président de l’ADIRS répondait sur les origines des troubles de la sexualité.
« Le facteur psychologique est toujours présent. Il est soit à l’origine du problème, soit réactionnel au problème. Quelle que soit son origine, il va être là dans l’évolution du problème sexuel et va même un peu l’entretenir à l’insu du patient. A côté de cela vont se greffer des problèmes organiques et, effectivement, plus on avance dans le temps, plus on va considérer que des problèmes organiques sont fréquents. On va observer qu’à partir de 45 ou 50 ans, on aura une plus grande proportion de pathologies organiques responsables en partie du problème sexuel, mais qui seront toujours associées à un facteur psychologique.
Par rapport à ces problèmes organiques, on va essentiellement s’orienter vers des problèmes vasculaires et puis, dans certains cas, vers des problèmes hormonaux ou neurologiques, selon le contexte. Il y aura toujours un facteur psychologique à prendre en considération, soit pour expliquer le problème sexuel, soit pour proposer le traitement en association et avec une prise en charge plus adaptée sur le plan psychologique. »
Comment ça va sous la couette ?
Source : www.metrofrance.com
L’association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (ADIRS) a fait étape à Lille hier. L’occasion d’évoquer le délicat sujet des troubles de la sexualité.
Baisse du désir, absence de plaisir, trouble de l’érection, une étude IFOP montre que 45% des Français sont prêts à en discuter avec un médecin… sans vraiment passer à l’acte.
“Une première écoute”
Alors le camion de l’ADIRS, présent lundi à Lille, doit aider à franchir le pas. “C’est une première écoute, explique Francis Lefèvre, thérapeute-sexologue. On informe et on aiguille les gens en cas de besoin vers un spécialiste.” Côté public, pas toujours facile d’évoquer l’intimité. Venue demander des conseils sur la façon de gérer l’éjaculation précoce de son partenaire, Laurence estime au contraire qu’il faut briser les tabous. “On doit en parler pour dédramatiser la chose. Je n’ai pas de gène avec ça. Qui a t-il de plus beau que l’amour ?”
Une part psychologique
La visite de l’ADIRS permet aussi de balayer quelques idées reçues. La baisse du désir est ainsi le plus gros souci des Français puisque cela concerne la moitié des personnes interrogées. « Parfois on pense aussi avoir des problèmes d’érection alors que c’est avant tout d’ordre psychologique », ajoute Francis Lefèvre. L’alimentation, l’alcool, le tabagisme jouent aussi beaucoup sur la virilité masculine.
Autre enseignement de la journée, les plus à l’aise pour parler sexe ne sont pas ceux que l’on imagine. Quand un ado pouffe de rire avant même la fin de notre question, Geneviève ne s’arrête plus lorsqu’elle évoque, «tout les plaisirs de la vie. » La sexagénaire est même très vexée d’apprendre que 17% des Français estiment que l’on ne fait plus l’amour passé 73 ans. « Et puis quoi encore, on peut aussi arrêter de respirer ! »
Un camion nommé désir… pour inciter les couples à évoquer leurs difficultés sexuelles
Source : www.leMonde.fr
La baisse du désir et de l’attirance physique pour son partenaire : c’est à la fois la première difficulté sexuelle rencontrée au sein du couple, mais aussi la plus taboue, selon les conclusions d’une étude que vient de publier l’IFOP pour le compte du laboratoire Lilly, le distributeur du Cialis, le concurrent du Viagra. Elle concerne 53 % des personnes interrogées, devant les difficultés à avoir du plaisir (39 %), les problèmes d’érection (31 %), l’éjaculation précoce (30 %) ou la simulation de l’orgasme (20 %).
“La baisse du désir est interprétée comme une baisse d’amour, alors que ce sont deux choses distinctes. On peut aimer beaucoup et ne pas désirer ; on peut désirer et ne pas aimer, explique le docteur Sylvain Mimoun, gynécologue-andrologue à Paris. Or, souvent, si l’on dit à son partenaire que l’on n’a pas envie, l’autre entend : “Je n’ai pas envie de toi”, de là viennent les difficultés.”
Trouble du désir, du plaisir ou de l’érection, d’après l’étude de l’IFOP, près de la moitié des Français (45 %) se disent prêts à en parler à leur médecin. Mais, dans la pratique, peu osent franchir le pas. On se dit que ça n’est pas très grave, que ça va passer, voire que c’est normal avec l’âge… résume l’enquête. C’est précisément pour inciter au dialogue et à la prise en charge que l’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs) a décidé d’organiser une campagne d’information et de sensibilisation sur les troubles de la sexualité.
“Rompre le silence”
Du 19 au 31 octobre, un camion sillonnera les routes de France et traversera sept villes, dont Paris (parc de La Villette) les 20 et 21 octobre. A bord, les Français pourront rencontrer des professionnels de la santé (sexologues, psychologues et médecins) et bénéficier de conseils personnalisés et gratuits. “En allant à leur rencontre, on leur donne l’occasion de pouvoir parler de leurs problèmes et de discuter de solutions avec eux”, explique Antoine Lemaire, endocrinologue-sexologue et président de l’Adirs.
Une démarche qui peut parfois s’avérer très bénéfique, notamment pour les hommes souffrant de troubles de l’érection, ce qui représente en France près d’un homme de plus de 40 ans sur trois, selon les dernières enquêtes. “Une dysfonction érectile après 40 ans peut être le seul indicateur de pathologies non diagnostiquées pouvant engager le pronostic vital, par exemple des problèmes cardio-vasculaires, souligne le docteur Marie-Hélène Colson, sexologue à Marseille. D’où la nécessité de rompre le silence et de consulter sans trop attendre.”
Elisabeth Pineau
Article paru dans l’édition du 18.10.09
Les troubles sexuels, il ne faut pas avoir peur d’en parler
Source : www.maxisciences.com
Une étude de l’IFOP pour le laboratoire Lilly révèle le comportement des Français concernant leurs troubles sexuels. Si 45 % d’entre eux se disent prêts à parler de leurs troubles sexuels, ils sont en fait bien peu à consulter un médecin ou à franchir le pas.
La baisse du désir est la première difficulté d’ordre sexuel rencontrée par les Français (53 %). Suivent les difficultés à avoir du plaisir (39 %), les problèmes d’érection (31 %), l’éjaculation précoce (30 %) ou la simulation de l’orgasme (20 %).
L’absence d’attirance semble être la question la plus difficile à aborder pour 47 % des Français. Pourtant 54 % d’entre eux se tournent d’abord vers leur partenaire pour discuter de ces questions intimes. Le médecin est l’interlocuteur privilégié de 45 % des Français. Les hommes se tournent plus facilement vers un praticien médical que les femmes (55 % contre 36 %).
Parmi les 45 % de Français prêts à en parler, 36 % des hommes et 38 % des femmes ne consulteraient pas tandis que 25 % des hommes et 28 % des femmes retardent le moment en invoquant la raison de l’âge. Enfin, 14 % des hommes et 13 % des femmes pensent que leur problème ne peut être guéri par un médecin.
Une grande campagne d’information et de sensibilisation sur les troubles de la sexualité se déroule du 19 au 31 octobre. Le bus de l’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs) s’arrêtera dans sept villes (Lille, Paris, Nancy, Lyon, Marseille, Toulouse et Nantes). A bord, des sexologues, des psychologues et des médecins répondront à toutes les questions du public.
Sexualité, parlons-en
Source : www.agoravox.fr
Panne sexuelle. Baisse du désir et de l’attirance physique pour son partenaire. Problème d’érection, de plaisir… Ces questions vous tracassent, mais vous ne savez pas à qui à en parler. Du 19 au 31 octobre, un bus s’arrêtera dans sept villes françaises pour informer le public sur ces troubles de la sexualité. L’Association pour le Développement de l’Information et de la Recherche sur la Sexualité les laboratoires Lilly et l’Association Inter-Hospitalo Universitaire de Sexologie (Aihus) sont à l’origine de cette campagne.
Lundi 19 octobre, le bus part de Lille. Il sera à Nantes, fin de son périple, le 31 octobre. Entre temps le camion visitera Paris (20 et 21 octobre), Nancy (22 octobre), Lyon (23 et 24 octobre), Marseille (27 et 28 octobre) et Toulouse (29 et 30 octobre).
Partenaire de cette opération, le laboratoire Lilly qui commercialise le « concurrent » du Viagra, le Cialis, vient de commander un sondage à l’IFOP dans lequel il apparaît que 39% des personnes interrogées rencontrent des difficultés à avoir du plaisir, 31% des problèmes d’érection (31 %), 30% éjaculent précocement et 20% simulent l’orgasme. 54% des Français sont prêts à en parler à leur médecin. Bien moins, en réalité, franchissent le pas.
C’est pourquoi l’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs) organise cette campagne itinérante (gratuite) d’information et de sensibilisation sur les troubles de la sexualité.
Sexualité : en parler tout simplement
Source : www.linternaute.com
“Je n’arrive plus à faire l’amour, comment retrouver une vie sexuelle épanouie ?” “J’ai des pannes sexuelles et je n’ose pas en parler à ma conjointe, que faire ?” Pour briser les tabous et inciter les couples à trouver la sérénité et la liberté dans leur vie sexuelle, l’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs), en partenariat avec le laboratoire Lilly, organise pour la première fois une campagne d’information “Vivre son couple, la sexualité, en parler tout simplement” du 19 au 31 octobre 2009 dans 7 villes de France. Une occasion pour s’informer à travers la distribution de brochures, d’animations variées, mais aussi la possibilité de rencontrer des sexologues et psychologues spécialistes afin de bénéficier de conseils personnalisés et gratuits.
Troubles de la sexualité : une grande campagne d’information itinérante
Source : www.miwim.fr
L’Association pour le Développement de l’Information et de la Recherche sur la Sexualité (ADIRS) lance une grande campagne d’information et de sensibilisation sur les troubles de la sexualité. Du 19 au 31 octobre, un camion spécial s’arrêtera dans sept villes (Lille, Paris, Nancy, Lyon, Marseille, Toulouse et Nantes). A bord, des sexologues, des psychologues et des médecins seront à la disposition du grand public pour répondre à toutes les questions concernant la sexualité, le désir et tous les troubles s’y rapportant.
Pour les plus timorés qui n’oseraient pas venir directement en parler à ces professionnels, il sera possible de poser des questions via le site de l’association.
Selon un sondage Ifop, la baisse du désir est la première difficulté d’ordre sexuel rencontrée par les Français (53%). Suivent les difficultés à avoir du plaisir (39 %), les problèmes d’érection (31 %), l’éjaculation précoce (30 %) ou la simulation de l’orgasme (20 %).
Plus d’informations sur le site officiel de la campagne : http://www.vivresoncouple.com
Troubles de la sexualité, un bus pour en parler
Source : www.santenews.eu
Les Français n’osent pas venir parler des troubles de leur sexualité. Si, selon une étude IFOP/Lilly, près de la moitié d’entre-eux (45%) se disent prêt à en parler à un médecin, dans la pratique peu osent finalement consulter ou aborder le sujet.
C’est pourquoi l’Association pour le Développement de l’Information et de la Recherche sur la Sexualité a décidé de venir à la rencontre des Français en organisant une campagne d’information et de sensibilisation sur
les troubles de la sexualité, en partenariat avec le laboratoire Lilly et l’AIHUS.
Dans le cadre de cette campagne d’information, un camion sillonnera les routes de France et traversera 7 villes du 19 au 31 octobre 2009.
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la sexualité sans jamais oser le demander !
A bord de ce camion pas tout à fait comme les autres, les français auront l’opportunité de rencontrer des professionnels de santé de l’ADIRS (psychologues, sexologues…) et pourront bénéficier de conseils personnalisés gratuits.
A disposition à bord du camion une large documentation éditée par l’ADIRS : comment aborder un trouble sexuel avec son médecin, les symptômes des troubles de l’érection, le diabète et la sexualité,… autant de documents qui permettront de répondre aux questions des plus pressés.
L’Association a tout prévu ! Même les plus timides pourront également poser leurs questions par écrit de façon anonyme. Les professionnels de l’ADIRS y répondront au cours de la tournée sur le site www.adirs.com.
« Beaucoup de personnes souffrant de troubles de la sexualité sont prêtes dans leur tête pour en parler, mais pas prêtes dans les faits. En allant à leur rencontre, on leur donne l’opportunité de pouvoir parler de leur problème et de discuter de solutions avec eux » explique Antoine Lemaire, endocrinologue-sexologue et président de l’ADIRS.
« Vivre son couple, la sexualité, en parler tout simplement » tel est le slogan de cette campagne qui ira donc à votre rencontre aux dates suivantesLille, le 19 octobre – Place François MitterrandParis, le 20 et 21 – Parc de la Villette, Place de la Fontaine aux LionsNancy, le 22 – Centre commercial Saint SébastienLyon, le 23 et 24 – Place Antonin PonceyMarseille, le 27 et 28 – Allées de Meilhans (Cannebière)Toulouse, le 29 et 30 – Place d’Arménie (en bas des allées Jean Jaurès)Nantes, le 31 – Place du commerce
Accès gratuit de 10 heures à 19 heures. Toutes les informations pratiques sur le site : www.vivresoncouple.com
Troubles de la sexualité : Il faut en parler à son médecin
Source : Journalstars.com
Plus de la moitié des Français, hommes et femmes confondus, ne seraient pas heureux sous la couette. Un sondage Ifop pour les laboratoires Lilly, 53 % des Français seraient prêts à parler des troubles de la sexualité à leur médecin mais n’osent pas franchir le pas. Environ 39 % des personnes interrogées connaissent des troubles du désir, contre 31% qui évoquent les problèmes d’érection, et 30% l’éjaculation précoce. Pour 20% des Français, la simulation du partenaire concernant l’orgasme ou l’éjaculation est un autre problème.
Ces résultats sont publiés à la veille d’une tournée d’information inédite sur la baisse du désir sexuel organisée par l’Association pour le développement de l’information et de la recherche sur la sexualité (Adirs), en collaboration avec l’Association Inter-Hospitalo Universitaire de Sexologie (AIHUS) et les laboratoires Lilly. « Le désir sexuel est la capacité à envisager de manière positive une activité sexuelle et à déclencher une excitation sexuelle. Elle recouvre à la fois le désir de faire l’amour avec son partenaire mais aussi le fait d’avoir des pensées érotiques de façon spontanée. Une baisse de désir sexuel nait d’une difficulté personnelle et non relationnelle. En effet, le désir sexuel est une capacité personnelle et non un sentiment généré par son partenaire. », explique l’Assocation ADIRS.
Un spray permettant de retarder l’éjaculation vient d’être mis au point par des scientifiques du Royal Victoria Hospital de Belfast en Irlande. Ce produit est destiné aux hommes souffrant d’éjaculation précoce. Des hommes ayant des problèmes d’éjaculation précoce ont pu multiplier par six le temps de leur relation sexuelle grâce au PSD502 (Premature Ejaculation Spray). Le professeur Dinsmore et ses collègues du Royal Victoria Hospital de Belfast en Irlande du Nord ont mené leur étude sur 300 hommes souffrant d’éjaculation précoce et ont mis au point un spray baptisé Premature Ejaculation Spray (PSD502), qui s’applique sur le pénis environ 5 minutes avant le rapport sexuel. Leur étude a été publiée vendredi dans la revue médicale British Journal of Urology International.
Certains hommes participant à cette étude atteignaient l’orgasme avant une minute, voire avant la pénétration. Pendant trois mois, ils ont été suivis dans 31 hôpitaux de renom au Royaume-Uni, en République tchèque, en Hongrie et en Pologne. Ils ont été répartis en deux groupes. Un premier groupe de 200 hommes a utilisé le spray PSD502 contenant 7,5 mg de lidocaïne et 2.5mg de prilocaïne. Le deuxième groupe de 100 personnes a utilisé un spray placebo sans ingrédients actifs. Durant les trois mois de l’étude, chaque couple devait mesurer le temps passé entre la pénétration vaginale et l’éjaculation. Les hommes ont été invités à s’abstenir de la masturbation pour ne pas compromettre les résultats de l’étude. Le temps entre la pénétration et l’éjaculation a progressivement augmenté, passant d’une moyenne de 0,6 minutes à 3,8 minutes dans le groupe ayant utilisé le spray PSD502 et de seulement 1,1 minutes dans le groupe placebo.
Ainsi, le temps de la relation sexuelle des utilisateurs du spray PSD502 a été multiplié par six et de 1,7pour ceux du spray placebo. Il ressort de ces résultats que le temps de relation sexuelle pour 90% des hommes du PSD502 est passée de quelques secondes à quatre minutes minimum. Il est vrai que ça reste insuffisant pour une femme en chaleur, mais c’est déjà un bon début. « L’éjaculation précoce peut être très pénible pour les hommes qui ont sont victimes », a déclaré le professeur W. Wallace Dinsmore du Royal Victoria Hospital de Belfast en Irlande du Nord.
Accueil Communiqués Annuaire des communiqués Société Capital Image et les Laboratoires Lilly brisent les tabous des problèmes sexuels dans le couple !
Source : www.categorynet.com
Capital Image et les Laboratoires Lilly brisent les tabous des problèmes sexuels dans le couple !
L’agence Capital Image, agence de relations presse et relations publiques, organise et médiatise la première tournée grand public dédiée aux problèmes de sexualité dans le couple « Vivre son couple, la sexualité, en parler tout simplement ! »
Une tournée du 19 au 31 octobre 2009 dans 7 villes de France et les résultats de l’étude IFOP/Lilly pour décoder la sexualité des français
Trouble du désir, du plaisir, troubles de l’érection… d’après une étude IFOP/Lilly, près de la moitié des français(45%)(1)se disent prêt à en parler à un médecin, mais dans la pratique peu osent finalement consulter ou aborder le sujet. Pour inciter au dialogue et à la prise en charge, l’ADIRS(2) organise pour la première fois une campagne d’information et de sensibilisation sur les troubles de la sexualité, en partenariat avec le laboratoire Lilly et l’AIHUS(3). Un camion sillonnera les routes de France et traversera 7 villes du 19 au 31 octobre 2009.Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la sexualité sans jamais oser le demander !A bord de ce camion, les français auront l’opportunité de rencontrer dans chacune des 7 villes de la tournée, des professionnels de santé de l’ADIRS (psychologues, sexologues…) et de bénéficier de conseils personnalisés et gratuits.« Beaucoup de personnes souffrant de troubles de la sexualité sont prêtes dans leur tête pour en parler, mais pas prêtes dans les faits. En allant à leur rencontre, nous leur donnons l’opportunité de pouvoir parler de leur problème et de discuter de solutions avec eux » explique Antoine Lemaire, endocrinologue-sexologue et président de l’ADIRS.Une large documentation éditée par l’ADIRS est mise à la disposition du public : comment aborder un trouble sexuel avec son médecin, les symptômes des troubles de l’érection, le diabète et la sexualité… autant de documents qui permettront d’éclairer les plus pressés.
Les plus timides pourront également poser leurs questions par écrit de façon anonyme. Les professionnels de l’ADIRS y répondront au cours de la tournée sur le site www.adirs.com
En pratique « Vivre son couple, la sexualité, en parler tout simplement »Du 19 au 31 octobre, accès gratuit de 10h à 19hLille, le 19 octobre – Place François MitterrandParis, le 20 et 21 – Parc de la Villette, Place de la Fontaine aux Lions Nancy, le 22 – Centre commercial Saint SébastienLyon, le 23 et 24 – Place Antonin PonceyMarseille, le 27 et 28 – Allées de Meilhans (Cannebière)Toulouse, le 29 et 30 – Place d’Arménie (en bas des allées Jean Jaurès)Nantes, le 31 – Place du commerce
Toutes les informations pratiques sur le site : www.vivresoncouple.com
(1) Etude IFOP / Lilly – Août 2009. « Les français, les 5 sens et la sexualité ». Echantillon de 1001 personnes, représentatif de la population française âgée de 18 ans et plus.
(2) Association pour le Développement de l’Information et de la Recherche sur la Sexualité – www.adirs.com
(3) Association Inter-Hospitalo Universitaire pour la Sexologie – www.aihus.com